• « Je suis capable du meilleur comme du pire, mais c'est dans le pire que je suis le meilleur ! »
• « Un pays neutre, c'est un pays qui ne vend pas d'armes à un pays en guerre, sauf s’il paie comptant. »
• « Le capitalisme, c'est l'exploitation de l'homme par l'homme. Le communisme, c'est le contraire. »
• « Un spermatozoïde avec un attaché-case, c'est un représentant de mes couilles. »
• « Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison. »
• « Misère ! Misère ! C'est toujours sur les pauvres gens... que tu t'acharnes obstinément. » (chanson)
• « C'est pas dur la politique ! La politique c'est cinq ans de droit... et tout le reste de travers. »
• « La société n'a pas voulu de nous ? Qu'elle se rassure ! On n'veut pas d'elle non plus ! »
• « L'autre repris de justesse... »
• « Dieu a dit : il y aura des hommes grands, il y aura des hommes petits, il y aura des hommes beaux et il y aura des hommes moches, il y aura des hommes noirs et il y aura des hommes blancs... Et tous seront égaux ; mais ça sera pas facile tous les jours... Et il a ajouté : il y en aura même qui seront noirs, petits et moches et pour eux ce sera très dur ! »
• « Tous les Hommes sont égaux. Les Arabes sont même plus égaux que les autres ! »
• « Je sais, j'ai l'air un peu con. Mais l'uniforme y est pour beaucoup ! »
• « Dieu a dit : partageons. Les riches auront à bouffer, les pauvres auront de l'appétit. »
• « Y a pas de grands, y a pas de petits : La bonne longueur pour les jambes, c'est quand les pieds touchent bien par terre ! »
• « La liberté, c'est un mot qui a fait le tour du monde et qui n'en est pas revenu. »
• « Y a des gens qui ont des enfants parce qu'ils n'ont pas les moyens de s'offrir un chien. »
• « L'argent ne fait pas le bonheur des pauvres. »
• « Quand on pense qu'il suffirait que les gens arrêtent d'en acheter pour que ça ne se vende pas. »
• « Le monde appartient à ceux qui ont le véto. »
• « Chez nous les fins de mois étaient difficiles, surtout les trente derniers jours. »
• « Il a les mains sales, tellement sales qu'on dirait des pieds. »
• « Les hommes politiques mettent de l'argent dans les prisons et pas dans l'éducation. Une chose est sûre lorsque l'on est ministre : on ne retournera pas à l'école. Tandis qu'en prison... »
• « Dieu est comme le sucre dans le lait chaud : il est là et on ne le voit pas ; plus on le cherche, moins on le trouve. »
• « La chanson est une industrie parce qu’une poignée d’imbéciles a réussi à être moins con que le reste. »
• « Vous devriez visiter Anvers... rien que pour l'endroit ! »
• « Gagner ta vie ne vaut pas l'coup, étant donné que ta vie, tu l'as déjà. »
• « Il y a deux sortes de justice : vous avez l’avocat qui connaît bien la loi, et l’avocat qui connaît bien le juge ! »
• « Chez ma grand-mère, tout le monde faisait sa prière avant de bouffer. Faut dire que la bouffe était tellement dégueulasse. »
• « Les gardiens de la paix, au lieu de la garder, ils feraient mieux de nous la foutre ! »
• « C'est pas plus mal que si c'était pire. »
• « J'ai appris qu'il fallait cueillir les cerises avec la queue. C'est déjà assez difficile avec la main. »
• « En Chine, plus on est de fous, moins il y a de riz. »
• « Le communisme c'est la seule maladie grave qu'on n'ait pas expérimenté sur les animaux. »
• « Un pour tous, tous pourris ! » (à propos des politiciens)
• « Au fait, on prononce fuel ou fioul ? Ça dépend si tu dis Bunuel ou bougnoule. »
• « Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans cinq ans il faudrait qu'ils achètent du sable ailleurs. »
• « La bigamie, c'est une femme de trop. La monogamie également. »
• « La dictature, c'est ferme ta gueule. La démocratie, c'est cause toujours... »
• « Y a des gens qui disent : « Ah ! euh, on est cerné par les cons ! » C’est vrai, mais, on se rend pas compte à quel point. »
• « En politique française, on est les meilleurs du monde. »
• « Je n'ai pas de message, ni de méchanceté. Pourtant, j’ai le grand avantage d’être détesté par la moitié. »
• « Y a des Africains qui viennent mourir dans le poste pendant qu'on est table, merde ! À ceux qui meurent de la famine, on leur passe pas des mecs qui sont en train de bouffer ! »
• « Youri Gagarine, il n'a pas eu de chance : il a fait trois fois le tour de la Terre et il est retombé en Russie. »
• « Un sandwich russe, c'est un ticket de jambon entre deux tickets de pain. »
• « Les Arabes ont encore fait des progrès : il y en a des riches. Il y en a aussi des pauvres, rassurez-vous : vous ne serez pas obligés d’aller bosser tout de suite. »
• « Je comprends pas tout mais je parle de tout c'est ce qui compte. »

L'argent n'achete pas tout

• 
  On peut acheter le plaisir mais pas l'amour.
• 
  On peut acheter un spectacle mais pas la joie.
• 
  On peut acheter un esclave mais pas un ami.
• 
  On peut acheter une femme mais pas une épouse.
• 
  On peut acheter une maison mais pas un foyer.
• 
  On peut acheter des aliments mais pas l'appétit.
• 
  On peut acheter un médicament mais pas la santé.
• 
  On peut acheter des livres mais pas l'intelligence.
• 
  On peut acheter l'instruction mais pas l'éducation.
• 
  On peut acheter des tranquillisants mais pas la paix.
• 
  On peut acheter l'indulgence mais pas le pardon.
• 
  On peut acheter la terre mais pas le ciel.

"Ton Christ est juif
ta voiture est japonaise
ta pizza est italienne
ta démocratie est grecque
ton café est brésilien
tes vacances sont turques
tes chiffres sont arabes
ton écriture est latine.....................
et tu reproches à ton voisin d'etre un étranger"

Méditez sur ces 3 leçons :<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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Communication<o:p></o:p>

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Procédures<o:p></o:p>

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Hiérarchie<o:p></o:p>

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1°) Communication :<o:p></o:p>

            Un homme entre dans la douche au moment précis ou sa femme en sort, lorsque la sonnerie retentit à la porte de leur maison.<o:p></o:p>

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            La femme s'enroule dans une serviette de toilette, descend les escaliers en courant et va ouvrir la porte d'entrée :<o:p></o:p>

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            C'est Laurent, le voisin de palier.<o:p></o:p>

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            Avant qu'elle n'ait pu dire un mot, il lui lance :<o:p></o:p>

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"Je te donne 800EUR immédiatement si tu laisses tomber la serviette qui te couvre". <o:p></o:p>

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            Elle réfléchit à toute vitesse et décide de laisser choir la serviette.<o:p></o:p>

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             Il l'admire à loisir, puis lui tend 800EUR.<o:p></o:p>

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            Un peu éberluée, mais contente de la petite fortune qu'elle vient de se faire en un clin d'oeil, elle remonte dans la salle de bain.<o:p></o:p>

            <o:p></o:p>

            Son mari, encore sous la douche, lui demande<o:p></o:p>

 <o:p></o:p>

                                   "C'était qui ?"<o:p></o:p>

                                   "C'était Laurent"<o:p></o:p>

                                   "Super, il t'a rendu les 800EUR qu'il me devait ?"<o:p></o:p>

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Morale n°1 :<o:p></o:p>

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Si vous travaillez en équipe, partagez rapidement les informations concernant les dossiers communs, vous pourrez ainsi éviter une mauvaise publicité ou des malentendus.<o:p></o:p>

2°) Procédures :<o:p></o:p>

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            <o:p></o:p>

            Au volant de la 2 CV, un prêtre raccompagne une nonne au couvent.<o:p></o:p>

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            Le prêtre ne peut s'empêcher de regarder ses superbes jambes croisées.<o:p></o:p>

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            Il pose subitement la main droite sur la cuisse de la nonne.<o:p></o:p>

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            Elle le regarde et lui dit :<o:p></o:p>

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                        " Mon père, vous souvenez-vous du Psaume 129?"<o:p></o:p>

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            Penaud, le prêtre retire sa main et se confond en excuses.<o:p></o:p>

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            Un peu plus loin, rongé par la tentation, il profite d'un changement de vitesse pour laisser sa main effleurer la cuisse de la nonne, qui lui demande :<o:p></o:p>

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                        " Mon père, vous souvenez-vous du Psaume 129 ?"<o:p></o:p>

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            Il rougit une fois de plus et retire sa main, balbutiant une excuse.<o:p></o:p>

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            Les voilà arrivés au couvent.<o:p></o:p>

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            La nonne descend de la voiture sans dire un mot.<o:p></o:p>

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            Le prêtre pris de remords pour son geste déplacé se précipite sur <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Bible">la Bible</st1:PersonName>, à la recherche du Psaume 129.<o:p></o:p>

            <o:p></o:p>

            Psaume 129:<o:p></o:p>

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            " Allez de l'avant, cherchez toujours plus haut, vous trouverez la gloire"<o:p></o:p>

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Morale n°2 :<o:p></o:p>

        <o:p></o:p>

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Au travail, soyez toujours bien informé ou vous risquez de passer côté de belles occasions...<o:p></o:p>

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3°) Hiérarchie :<o:p></o:p>

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            Un représentant, une employée de bureau et un directeur du personnel sortent du bureau à midi et marchent vers un petit restaurant lorsqu'ils trouvent, sur un banc, une vieille lampe à huile.<o:p></o:p>

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            Ils la frottent et un génie s'en échappe.<o:p></o:p>

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                        "D'habitude, j'accorde trois souhaits, mais comme vous êtes trois, vous n'en aurez qu'un chacun".<o:p></o:p>

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            L'employée de bureau bouscule les deux autres en gesticulant :<o:p></o:p>

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" A moi, à moi! Je veux être sur une plage immaculée des Bahamas, en vacances perpétuelles, sans aucun souci qui pourraient m'empêcher de profiter de la vie"<o:p></o:p>

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            Et pouf, l'employée de bureau disparaît.<o:p></o:p>

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            Le représentant s'avance à son tour <o:p></o:p>

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"A moi, à moi ! Je veux siroter une pina colada sur une plage de Tahiti avec la femme de mes rêves !"<o:p></o:p>

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            Et pouf, le représentant disparaît.<o:p></o:p>

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" C'est à toi "<o:p></o:p>

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            Dit le génie en regardant le directeur du personnel.<o:p></o:p>

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"Je veux que ces deux là soient de retour au bureau après le déjeuner..."<o:p></o:p>

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        Morale n°3 :<o:p></o:p>

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                Laissez toujours les chefs s'exprimer en premier.

 

Puisque cela intéresse tout le monde, et pas seulement les plus jeunes (on entend bien dire à propos de gens qui ont passé l'âge «Celui-là il croit au Père Noël»). Il est facile de dire que le Père Noël n'existe pas, que le gros barbu et ses increvables montures sont incapables de livrer la marchandise. Mais s'est-on jamais donné la peine de démonter pièce par pièce cette supercherie vieille de cent cinquante ans ? Grâce de nombreux calcule très pousser et une rigueur toute scientifique en voici la preuve :

Commençons par une mauvaise nouvelle. Le traîneau du Père Noël est soi-disant tiré par des rennes volants. Après d'intenses recherches, on n'a malheureusement trouvé aucune espèce de rennes connue à ce jour sachant voler. Mais il y a encore des raisons d'espérer, si on pense qu'il y a plusieurs millions espèces d'organismes vivants qui ne sont pas encore classées. Même si la plupart de ces espèces sont des insectes et des germes, rien ne permet d'exclure complètement l'existence de rennes volants que le Père Noël est cependant le seul à avoir vus jusqu'à présent.

Passons à la charge de travail du Père Noël. Il y a environ 2 milliards d'enfants dans le monde. On obtient ce nombre en se limitant aux personnes âgées de moins de 18 ans, puisque c'est l'âge moyen en apparence raisonnable, mais variable en fait selon les individus, pour lequel le Père Noël perd toute crédibilité. Puisque le Père Noël ne s'occupe pas des enfants musulmans, hindous, juifs et bouddhistes, cela réduit la charge de travail à 15 % du total, en fait 378 millions selon le bureau de recensement de la population mondiale. Avec une moyenne de 3,5 enfants par foyer, cela nous donne à peu près 91,8 millions de foyers. Bien entendu, on suppose aussi qu'il y a au minimum un enfant sage dans chaque maison (la plupart des enfants recevant des cadeaux, les standards de sagesse du vieil homme ne sont manifestement pas bien haut).

Le Père Noël a au moins 31 heures de travail pendant la nuit de Noël, à cause des différents fuseaux horaires et de la rotation de la terre, et en supposant qu'il voyage d'Est en Ouest (ce qui parait tout de même logique !). Cela nous amène à 822,6 visites par seconde ; c'est-à-dire que pour chaque foyer chrétien avec des enfants sages, le Père Noël dispose d'un peu plus d'un millième de seconde pour se garer, sauter hors du traîneau, dégringoler par la cheminée, remplir les chaussettes de jouets, placer le reste des cadeaux sous le sapin, manger les quelques restes du repas qui traînent, remonter dans la cheminée, remonter dans le traîneau et passer à la maison suivante. En supposant que chacun de ces 91,8 millions d'arrêts sont équitablement répartis sur la surface du globe (ce qui bien entendu est complètement faux comme nous le savons, mais que nous admettrons comme d'habitude dans l'intérêt de nos calculs), en le supposant donc, nous en sommes maintenant à une maison tous les 1,26 kilomètres pour un voyage total de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="121ﾠ155 200 kilom￨tres">121 155 200 kilomètres</st1:metricconverter>, sans compter les voyages transocéaniques, les arrêts pour le fourrage des valeureux rennes et pour faire ce que la plupart d'entre nous doivent faire au moins une fois toutes les 31 heures.

Cela veut dire que le traîneau du Père Noël se déplace à une vitesse moyenne de <st1:metricconverter w:st="on" ProductID="1ﾠ040ﾠkilom￨tres">1 040 kilomètres</st1:metricconverter> par seconde, soit 3 000 fois la vitesse du son. On est certes encore loin des vitesses relativistes, mais, à titre de comparaison, le véhicule le plus rapide jamais fabriqué par l'homme, la sonde spatiale Ulysse, se déplace à la vitesse relativement étriquée de 43,8 kilomètres par seconde, et un renne conventionnel, donc non-volant à priori, plafonne à <st1:metricconverter w:st="on" ProductID="24ﾠkilom￨tre">24 kilomètre</st1:metricconverter> par heure. Supposons toutefois que les rennes volants sont capables d'atteindre des vitesses supersoniques grâce, disons, à l'effet de l'esprit de Noël.

La charge pesant sur le traîneau est un autre élément intéressant de l'enquête. En supposant que chaque enfant reçoit en tout et pour tout un jeu de « Lego » de taille moyenne (poids d'un kilogramme), le traîneau transporte alors environ 321 000 tonnes, sans parler du Père Noël qu'on a toujours décrit comme étant ostensiblement obèse. Sur terre, un renne conventionnel ne peut pas tirer, disons, plus de 150 kilos. Même en supposant qu'un renne volant (s'il en existe) puisse tirer 10 fois la charge normale, on n'arrive pas au résultat avec 8 ou même 9 d'entre eux. Non, il faut en fait 252 000 rennes ! Un renne (anémique) pesant en moyenne 75 kilos, on arrive à une charge totale de 396 000 tonnes sans compter le traîneau ! Finalement, 396 000 tonnes se déplaçant à <st1:metricconverter w:st="on" ProductID="1ﾠ040ﾠkilom￨tres">1 040 kilomètres</st1:metricconverter> par seconde provoquent une énorme résistance de l'air. Les rennes sont en fait élevés à la même température qu'une navette spatiale rentrant dans l'atmosphère terrestre. Les deux rennes de tête absorbent une énergie de 14,3.10³⁰ joules. En résumé, ils se désintègrent presque instantanément, exposant les rennes qui les suivent. Les 252 000 rennes sont donc entièrement pulvérisés en moins de 4,26 millièmes de seconde. Le Père Noël, entre-temps, est soumis à une force centrifuge égale à 17 500 fois la gravité terrestre. Un Père Noël de 150 kilos (poids, répétons-le, ridiculement sous-estimé) serait cloué au fond de son traîneau par environ 2 275 tonnes de pression. Cette force le tuera sur le coup, lui broyant les os, pulvérisant sa chair, le transformant en gelée rose.

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Conclusion de l'enquête : si un jour le Père Noël a vraiment livré des jouets la veille de Noël, il est maintenant mort depuis longtemps. Désolé pour ceux qui perdent ici leurs dernières illusions.